Les livres de BHL, Finkielkraut, Bloom, Henry, annoncent peut-être le printemps de notre culture. La critique d’Alain Besançon.
Bernard-Henri Lévy fait leur éloge et, dans un essai sur Aron et Sartre, Étienne Barilier se demande s’ils sont en train de disparaître.
BHL signe un texte de résistance courageux qui sonne juste et vrai, fidèle envers le peuple juif, son histoire et ses valeurs.
BHL note l’exagération de ceux qui estiment que l’avenir de la culture, le sort de l’humanitaire et la gloire de nos âmes se jouent à la télé.
Alors que des coalitions internationales s’étaient formées pour détruire Al-Qaeda puis Daesh, personne, regrette le philosophe, ne vient aider Israël à mener la guerre contre le Hamas.
Patrick Klugman a lu le nouveau livre de BHL, un magnifique ouvrage qui brise la conjuration qu’il énonce.
Dans son dernier essai, le philosophe célèbre l’esprit du sionisme et nous livre sa pensée sur le conflit et ses répercussions en France.
Dans son nouvel essai, le philosophe fait l’anatomie de la tragédie du 7 octobre. Plus qu’un nouvel épisode sanglant du conflit israélo-arabe, il y voit un pogrom sans précédent depuis la Shoah.
L’écrivain laisse au vestiaire les grands mots lyrico-sévères pour livrer une foudroyante radioscopie du 7 octobre. Et revenir à l’essence de l’âme juive.
Hommage à Alexeï Navalny, dont le martyre inspire au philosophe une réflexion qui mêle l’histoire, la politique, la littérature. Sans oublier l’éthique.
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