Les livres de BHL, Finkielkraut, Bloom, Henry, annoncent peut-être le printemps de notre culture. La critique d’Alain Besançon.
Après les Cambodgiens, les Afghans et les Polonais, l’écrivain Bernard-Henri Lévy prend la défense des intellectuels. Son nouveau livre est un plaidoyer contre les bateleurs qui les ont peu à peu remplacés dans tous les médias.
Bernard-Henri Lévy se demande où sont passés les vrais intellectuels. Et attaque les idées reçues de notre temps.
On finirait par l’oublier, note encore Lévy, un intellectuel, c’est quelqu’un qui pense, fréquente les bibliothèques plutôt que les manifs.
Le rôle des clercs dans la cité ? Lévy, d’une écriture merveilleusement maîtrisée, fournit quelques réponses, proposes des idées.
La pensée a-t-elle besoin d’être sauvée ? À quoi sert un intellectuel ? Que signifie « l’Universel » ? La politique est-elle un piège pour l’écrivain ?
Plusieurs ouvrages (BHL, Finkielkraut, Bloom) nous livrent leur diagnostic sur la crise qui secoue le monde intellectuel.
BHL et Finkielkraut démontrent l’utilité des intellectuels, et nous apportent le plus beau des cadeaux : l’inconfort de la pensée.
Bernard-Henri Lévy a répondu sur les sujets les plus divers aux questions de Denis Tillinac. Un dialogue sans fard.
En répondant à Maurice Bardèche, sur le plateau d’« Apostrophe », BHL a servi notre Mémoire. Superbement.
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