Quand on veut lâcher la Libye libre, on dit qu’elle est insauvable, peu fiable, ramassis d’ex-kadhafistes, infiltrée par Al-Qaeda, douteuse.
Le 14 décembre 2001, Bernard-Henri Lévy présentait « Bosna ! » en Yougoslavie son film sur le martyre de Sarajevo.
Dans un pamphlet dégainé à peine l’épidémie éteinte, Bernard-Henri Lévy s’interroge sur ce confinement qui a duré plus de deux mois. N’aurions-nous pas sacrifié les principes vitaux de la liberté et de la démocratie ?
Le philosophe publie un livre-manifeste en faveur de la gauche. Un plaidoyer brillant où manquent deux piliers de la reconstruction : la nation et le social.
Version française de la tribune publiée, dimanche 22 juillet, par Bernard-Henri Lévy, dans le supplément littéraire du « New York Times », où il explique ce qu’il pense de Nicolas Sarkozy.
Si le livre de Lévy déchaîne une aussi intolérante véhémence, c’est sans doute qu’il y a quelque part un cadavre dans le placard.
Peut-on aimer l’auteur des « Mots » quand on l’a connu maoïste sans hauteur ? Bernard-Henri Lévy opte pour l’empoignade affectueuse.
Le philosophe médiatique publie son journal des événements en Libye, dont il a été témoin et acteur, de l’Élysée à Benghazi. D’où vient le besoin d’être aux premières loges de l’histoire, sur la ligne de front ? Marc Lambron tente de cerner Bernard-Henri Lévy, franc-tireur dont l’engagement impétueux fait cause commune avec l’ambition littéraire.
Inlassable observateur de notre temps, le philosophe et écrivain revient, dans un livre pamphlet, sur la gestion de la crise sanitaire du Covid-19.
Les adieux de Mitterrand. Fin de la politique. Courez voir « Tsahal ». Les citoyens contre la corruption. Goethe et Schiller. Destin tragique d’Arafat. Semprun dans une langue étrangère.
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