Avec son nouveau livre, « L’Empire et les cinq rois », Bernard-Henri Lévy récidive dans la défense d’un Occident fier de ses valeurs.
Le philosophe Bernard-Henri Lévy s’insurge contre la débandade américaine et défend des progrès spectaculaires dans la société afghane.
« Looking for Europe » a marqué le débat para-électoral de ces dernières semaines. Portrait en situation d’un combattant des idées.
Guerre en Libye, Erdogan, souverainisme, gauche racialiste, Covid... Le philosophe, qui publie « Sur la route des hommes sans nom », défend son internationalisme.
Pendant près de trois mois, le philosophe a parcouru le Vieux Continent pour une série de représentations théâtrales, vibrant plaidoyer pour l’Union européenne.
À l’occasion de la sortie de son livre « Sur la route des hommes sans nom », le philosophe se confie sur ses modèles littéraires. Il critique l’obsession sanitaire qui a braqué les yeux de nos démocraties sur le Covid au détriment des véritables guerres.
Tout ou presque oppose Bernard-Henri Lévy et Renaud Girard, sauf la conviction inquiète d’une crise frappant les États-Unis et la vieille Europe.
L’écrivain l’avoue : il déteste les retours – en arrière, aux sources, à la nature… Et, tout au long de sa vie, il en a fait une philosophie.
D’après le philosophe, le vote des Britanniques incarne la « victoire du souverainisme le plus sombre », préalable à « un possible crépuscule d’un projet de civilisation ». Soit les Européens se ressaisissent, soit le pire les attend.
Le régime de Damas et le Kremlin sèment la mort dans une accablante indifférence. Rien n’a su convaincre nos dirigeants d’agir plus fermement, déplore l’écrivain et philosophe.
Réseaux sociaux officiels