Si les années 90 de Bernard-Henri Lévy sont marquées par la guerre en Bosnie, elles sont aussi marquées par l’horreur du génocide au Rwanda, qu’il évoque et pense dans plusieurs de ses livres.
Dans les années 90, Bernard-Henri Lévy a dénoncé la barbarie intégriste du GIA en Algérie, à travers des reportages tel que « Le Jasmin et le sang ».
Le philosophe rend hommage au talent et au courage de Salman Rushdie, à qui, suggère-t-il, il faudrait décerner le prix Nobel de littérature.
BHL évoque les héritages de « l’affaire Rushdie », qui marque l’apparition de cette nouvelle variante du fascisme qu’est le fascislamisme.
En 2006, douze intellectuels, dont BHL, dénoncent l'islamisme comme un totalitarisme religieux qui met en péril la laïcité, la démocratie.
En octobre 1992, Bernard-Henri Lévy rencontre pour la première fois l'auteur des « Versets sataniques », à Helsinki. Récit de ce premier rendez-vous « rocambolesque ».
Que sont devenus les soldats résistants de l’aciérie d’Azovstal, à Marioupol ? Une enquête internationale devra être imposée à la Russie.
En juin 1978, BHL s’est rendu à Buenos Aires, au temps de la dictature de Jorge Videla. Utilisant le prétexte du « Mundial » de football – qu’il appel à boycotter – il enquête, malgré une arrestation policière, sur les dessous du régime autoritaire argentin : il écrit à cette occasion un reportage intitulé « Un hiver à Buenos Aires ».
Gabi Gleichmann revient sur ce qu’implique une fatwa pour celui qui en est la victime et, à travers le cas précis de Salman Rushdie dont il fut un soutien, et raconte le combat de Bernard-Henri Lévy contre cette barbarie fascislamiste.
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