On finirait par l’oublier, note encore Lévy, un intellectuel, c’est quelqu’un qui pense, fréquente les bibliothèques plutôt que les manifs.
Bernard-Henri Lévy signe un excellent essai, « Solitude d’Israël », où il démonte un à un les arguments antisionistes.
Pour le philosophe, il n’y a pas d’autre solution, pour rétablir la paix à Gaza, que la libération de tous les otages et la reddition du Hamas.
Un manifeste de Bernard-Henri Lévy, qui paraît aujourd’hui, appelle à la mobilisation des intellectuels. Un texte provocant, écrit à partir des décombres du « socialisme à la française ».
Hommage à Alexeï Navalny, dont le martyre inspire au philosophe une réflexion qui mêle l’histoire, la politique, la littérature. Sans oublier l’éthique.
Le sens, le message du monument contre le fascisme que les Gerz viennent d’ériger à Hambourg, dépasse le strict discours esthétique.
En février 1981, en pleine bataille sur « L’Idéologie Française », Raymond Aron interpelle BHL dans « L’Express », qui lui répond.
La presse gauchiste est marquée par des « Révolutions » politiques, touchant au rôle de la parole et à la définition de la « Vérité populaire ». Une enquête de Bernard-Henri Lévy.
Dans son premier roman « Le Diable en tête » (Grasset), BHL revit les illusions perdues de sa génération hantée par ce mal du siècle, le fascisme. Dans un entretien avec Paul Guilbert, il s’explique sur son passage de l’essai au roman et sur la présence du Mal en politique.
Le Goncourt, demain, se joue dans un mouchoir. Poirot-Delpech ? Marguerite Duras ? ou Bernard-Henri Lévy ?
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