Si le livre de Lévy déchaîne une aussi intolérante véhémence, c’est sans doute qu’il y a quelque part un cadavre dans le placard.
L’hostilité, BHL connaît. Pour un philosophe engagé, c’est le prix à payer. Mais la haine – notamment distillée ces jours-ci par « Le Monde diplomatique » ? Elle est anormale, estime Philippe Val, qui en dit ici les dangers.
Guerre en Libye, Erdogan, souverainisme, gauche racialiste, Covid... Le philosophe, qui publie « Sur la route des hommes sans nom », défend son internationalisme.
Tout ou presque oppose Bernard-Henri Lévy et Renaud Girard, sauf la conviction inquiète d’une crise frappant les États-Unis et la vieille Europe.
Violences en Irak, en Syrie et en Libye, troubles en Ukraine, inaction de l’Europe, antisémitisme éclatant à Barbès... Bernard-Henri Lévy analyse les soubresauts d’un monde où se multiplient les conflits.
Un appel à mettre un terme à la tragédie en Syrie, signé Jacques Bérès, Mario Bettati, André Glucksmann, Bernard Kouchner et Bernard-Henri Lévy.
Bernard-Henri Lévy soutient Philippe Val, le directeur de « Charlie Hebdo ». Selon lui, ni la critique des religions ni le côté « rebelle » de Siné ne justifient les propos tenus.
Le négationnisme est le stade suprême du génocide. C’est vrai de l’Arménie comme de la Shoah. Il est essentiel que le législateur empêche l’effacement de cette mémoire.
Gloire à la Kabylie. Une, deux, trois Taslima Nasreen. L’Amérique et ses nouveaux révisionnistes. L’Europe et les vieux habits de la droite extrême. Si Labro n’était pas Labro...
Le philosophe, qui se trouve actuellement dans l’Ukraine en guerre, poursuit sa réflexion sur la signification et les implications du conflit.
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