Mitterrand chez Pivot. Toujours Sarajevo. Français, si vous rêviez. Irons-nous à Moscou ? Stendhal et la politique.
Les questions que cette campagne ignore. Ernst Jünger a cent ans. Giscard, Delors, Barre : le cercle des candidats disparus. Altman et son Prêt-à-porter. Sur une chiracophilie bien parisienne.
De la Mussolini à Silvio Berlusconi, les avatars d’un certain fascisme. Pour les arrière-pensées de l’Europe d’aujourd’hui, lisez Minc ! Quand on interviewe les écrivains.
Agonie d’un système politique. Pourquoi le Peuple, en démocratie, n’a pas toujours le dernier mot. La littérature comme vengeance ; la pensée comme vendetta.
Comment Malraux a cru découvrir les trésors de la reine de Saba. Kissinger, Platini et les infortunes de la vertu. Une tentation national-communiste ? Souvenez-vous des « sections beefsteaks ».
C'est un débat douloureux et sensible qui traverse l'Allemagne : faut-il du passé faire table rase, tourner la page de la Shoah, au risque de l'oublier ?
Pour Claude Lanzmann, « ce qui emporte l’adhésion dans ce "Siècle de Sartre", c’est sa générosité, qui fait écho à la générosité sublime de Sartre. »
L’enfant terrible de la philosophie s’explique sur ses rapports avec les médias, sa conception de l’engagement, le rôle de l’intellectuel dans la société.
Mon ami Verdiglione. Le Pen et les chambres à gaz. Vienne, berceau du nazisme. Relire Hermann Broch, de toute urgence. Les salades de Tchernobyl. Les pompiers de l’Apocalypse. Un Sakharov mallarméen. Sartre ne comprend rien à la littérature. Dieu garde l'écrivain et ses héritiers.
Barre est-il encore démocrate ? Vive la cohabitation ! A gauche, comme d’habitude. Les écrivains parlent beaucoup trop. Flaubert et Stendhal. Le sang-froid de Charles Baudelaire. Nourissier n’est pas un romancier français. Un dérapage à « Libération ».
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