En 2017, BHL poursuit son combat pour les kurdes lors de la bataille de Mossoul, et lutte contre le réveil des populismes en Europe.
Bernard-Henri Lévy dresse un portrait sans concession de la présidente du Front national, Marine Le Pen.
De juillet à décembre 2015, avec une équipe de cinéma, Bernard-Henri Lévy a remonté les 1000 kilomètres de la ligne de front qui sépare le Kurdistan irakien des troupes de Daech. De ce voyage est issu un journal de bord en images. Ce film a fait partie de la Sélection officielle du Festival de Cannes 2016.
Le tournage commence le 17 octobre 2016, au cœur de la Plaine de Ninive, au premier jour de la bataille pour la libération de Mossoul. Il s’achève à la mi-janvier 2017, avec la libération complète de la moitié Est de la ville et avec la libération, sur le Tigre, du tombeau du Prophète Jonas.
La guerre qui nous frappe se gagnera en Irak et en Syrie. Encore faut-il que la première puissance mondiale prenne conscience de l'enjeu.
Pour Bernard-Henri Lévy, "il n'y a pas de meilleur choix que d'aider les Kurdes à nous aider à vaincre la barbarie sans pareille des coupeurs de tête de l'EI".
Face à la persécution des chrétiens d'Orient, l'Occident donne de la voix. Mais l'effort doit aussi venir du monde arabo-musulman lui-même.
Même du point de vue de la seule "realpolitik", Bachar el-Assad n'est pas une alternative à Daesh, pour au moins cinq raisons. Démonstration.
L'écrivain revient sur la bataille de Mossoul, la reprise de l'enquête sur les mails d'Hillary Clinton et la publication de "L'Homme debout" (Stock).
Préparer enfin des frappes contre Daesh en Syrie est une décision de bon sens. Mais dans cette offensive, le régime criminel d'el-Assad n'est pas notre allié.
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