Bernard-Henri Lévy, porté par son admiration pour Baudelaire, a réussi un beau livre qui signe son retour en littérature.
Peu de temps avant sa mort, Baudelaire disparaît en Belgique. On sait peu de chose de ce long et douloureux voyage intérieur. Bernard-Henri Lévy donne sa version.
BHL a réussi superbement son roman. À ces brillants écrits de tête il ajoute une œuvre de cœur, pleine de talent, riche de mille promesses.
C’est tout un parfum de mort que BHL, ce diable de romancier, restitue avec force talent et minutie dans son roman sur Baudelaire.
BHL publie son deuxième roman. Alors, le Lévy philosophe a-t-il définitivement cédé la place à un Lévy romancier ?
BHL : plus présent dans ce roman, « Les Derniers jours de Charles Baudelaire », que dans tous ses autres livres.
Le roman de BHL sur Baudelaire est une biographie déguisée en roman, qui traverse l’homme pour atteindre l’œuvre, un roman critique.
L’Europe ayant « besoin d’un coup de théâtre », alors qu’elle menace de se transformer en « cause perdue », BHL interroge son avenir dans une nouvelle pièce de théâtre.
L’obsession identitaire : voilà l’ennemie. BHL s’obstine à ferrailler avec rage contre le vertige régressif de « ceux qui sont nés quelque part ».
À quelques heures des midterms, le philosophe a joué à New York une pièce qui revient sur toutes les questions géopolitiques et morales du moment.
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