Michel Houellebecq et BHL : le tandem est bon. Il n’y a pas là le poète et l’idéologue, mais deux voix d’écrivains, à forces égales.
Fidèle à ce qui le fait courir, BHL reprend pour ses débuts au théâtre les grands thèmes qui assurent depuis toujours le substrat de son œuvre.
Un rapport de 1985 sur l’influence des Nouveaux philosophes en France a été rendu public.
Si le livre de Lévy déchaîne une aussi intolérante véhémence, c’est sans doute qu’il y a quelque part un cadavre dans le placard.
Peut-on aimer l’auteur des « Mots » quand on l’a connu maoïste sans hauteur ? Bernard-Henri Lévy opte pour l’empoignade affectueuse.
Bernard-Henri Lévy va publier aux États-Unis, puis en France, un grand livre sur l’Amérique, sur les traces de Tocqueville : « American Vertigo ».
Coup de tonnerre de l’automne littéraire, l’échange épistolaire entre l’auteur des « Particules élémentaires » et le philosophe est captivant... mais pas pour les raisons prévues.
Hulot, De Villiers, Onfray, Despentes... Pour la sortie de « Ce virus qui rend fou », BHL se lâche. Mais n’en fait-il pas trop en refusant de télécharger StopCovid ?
Il fallait qu’un grand livre couronne les vingt ans de la mort de Sartre. BHL, avec son « Siècle de Sartre » a signé là son œuvre la plus accomplie.
Le philosophe médiatique publie son journal des événements en Libye, dont il a été témoin et acteur, de l’Élysée à Benghazi. D’où vient le besoin d’être aux premières loges de l’histoire, sur la ligne de front ? Marc Lambron tente de cerner Bernard-Henri Lévy, franc-tireur dont l’engagement impétueux fait cause commune avec l’ambition littéraire.
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