Le film de Bernard-Henri Lévy dépeint la bravoure des Ukrainiens et la laideur d’une guerre provoquée par la folie d’un seul homme, Poutine.
Ce livre est le fruit d'un périple qui a conduit Bernard-Henri Lévy à Pékin, Canton, Hong Kong, Macao, Séoul, Tokyo. Journal de voyage d'un écrivain consignant ses impressions les plus fugaces comme ses réflexions les mieux argumentées, il se présente sous la forme d'un véritable récit.
La chute du mur de Berlin en 1989 avait fait espérer des temps apaisés. Or, partout, des points de convulsion s’embrasent. Bernard-Henri Lévy décrit ces mouvements tourbillonnaires et dénonce le désir de pureté au principe de tous les intégrismes, par lequel ils se ressemblent. Vibrant.
Culture politique, philosophique, culture tout court, il est armé pour se faire. Et se jette à l’eau. Il faut de l’audace aujourd’hui pour essayer de « penser le tumulte », de dominer la confusion qui règne dans le monde et dans les têtes, d’en tirer quelques idées force.
Il faut saluer le vote budgétaire américain en faveur de l’Ukraine, d’Israël et de Taïwan. Car c’est d’une nouvelle guerre mondiale qu’il s’agit : celle qui oppose les démocraties à l’Internationale illibérale.
Le philosophe était au Portugal au moment de la révolution des Œillets. Il témoigne.
Les livres de BHL, Finkielkraut, Bloom, Henry, annoncent peut-être le printemps de notre culture. La critique d’Alain Besançon.
Après l’attentat de Moscou, le philosophe rappelle aux « âmes libres du monde » que c’est le même combat qui se joue face à Poutine et au djihadisme.
Le philosophe publie un livre événement, « Solitude d’Israël ». Il alerte contre la nouvelle réprobation de l’État juif et souhaite mener la bataille de la vérité.
Bernard Frank a lu « Éloge des intellectuels ». Selon lui, en attaquant Sartre, c’est Baudelaire que BHL veut venger.
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