S’il y a un péril, aujourd’hui, pour la survie d’Israël, ce péril s’appelle la Cisjordanie et Gaza. Il faut sortir du piège des territoires.
Après un an de chronique au « Matin », BHL s’adresse à ses lecteurs pour un bilan d’écriture : pour la première l’actualité s’absente.
Sur la libération des ondes. Daniel Ortega à la tribune du 14 juillet. Il ne faut pas faire l’impasse sur la tragédie afghane.
Les Malouines, encore. Un beau film de Costa-Gavras. Est-il si difficile de pratiquer l’antifascisme jusqu’au bout ? Disparition de Virgil Tanase.
Convictions, assez anciennes au demeurant, dont BHL brûlait de voir confirmer la lettre par un nouveau séjour en Israël. Récit.
Un an de socialisme. La « droite » relève la tête. La « gauche » baisse la sienne. En face d’elles, « la ligne Badinter ».
Sartre et Munich. L’antifascisme des maos. Le front des Malouines. Sur le gaz soviétique. Duns Scot ; Bernanos ; Yoram Kaniuk.
Pinochet meurt impuni. L’évidence du crime de Fidel Castro doit être jugé. Marek Halter et les racines juive du christianisme dans « Marie ».
BHL dialogue avec Salman Rushdie à Londres en 1995. Il découvre un auteur animé par le même type de préoccupations que d’autres écrivains — le style, l’écriture, les jeux de l'œuvre et de la gloire, les médias, le spectacle, l’authenticité et le mensonge, la figure de l'intellectuel joyeux.
Lors de cette rencontre à l’Académie Mohyla de Kiev, le 16 mai 2014, à l’occasion du « Forum européen » organisé par Leon Wieseltier, BHL définit ce qu’est le poutinisme tout en montrant que l’Europe est aussi forte que Vladimir Poutine est faible.
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