Pourquoi il est impossible, même et surtout quand on est sartrien, d’avoir raison contre Camus ? BHL évoque Camus, un de ses maîtres.
Soirée de présentation, au Centre Rachi, de « La Cérémonie de la naissance » de Benny Lévy (Verdier). Lors de cette allocution, organisée le 8 mars 2005 part l’Institut d’études lévinassiennes, BHL évoque le lien entre Benny Lévy et Sartre.
Par Bernard-Henri Lévy, une enquête philosophique sur les combats et les dérives de « l’homme-siècle », dont l’œuvre a toujours été en guerre contre elle-même.
Peut-on aimer l’auteur des « Mots » quand on l’a connu maoïste sans hauteur ? Bernard-Henri Lévy opte pour l’empoignade affectueuse.
Il fallait qu’un grand livre couronne les vingt ans de la mort de Sartre. BHL, avec son « Siècle de Sartre » a signé là son œuvre la plus accomplie.
BHL offre un panorama intellectuel du siècle, vu à travers « la question Sartre ». L’ambition est belle, le résultat époustouflant.
Il y a de multiples manières de lire ce foisonnant « Siècle de Sartre » de BHL, guidé par un enthousiasme, un emportement, un élan vers Sartre.
Il y a de la tendresse filiale, et une compréhension intime d’écrivain, dans le « Siècle de Sartre » de Lévy, frère en folie d’écrire de Sartre.
BHL revient sur la publication de « La Cérémonie des adieux », qui fut ce qu’il est convenu d’appeler un événement littéraire.
Jospin. Sartre et Benjamin. Derrida. Fabrice Gaignault et ses égéries des années soixante, Gégauff, etc. Polybe. Foucault et le narcissisme.
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