Le philosophe était au Portugal au moment de la révolution des Œillets. Il témoigne.
Les livres de BHL, Finkielkraut, Bloom, Henry, annoncent peut-être le printemps de notre culture. La critique d’Alain Besançon.
Pour son feuilleton, Bertrand Poirot-Delpech a lu « Éloge des intellectuels » de BHL, et « La Défaite de la pensée » d’Alain Finkielkraut.
Aux États-Unis, Allan Bloom publie un éloge de la culture générale. À Paris, BHL un éloge des intellectuels. Les clercs crient à la trahison des autres.
Au valeureux président américain, celui qui a soutenu l’Ukraine et Israël, aujourd’hui en proie à des défaillances de santé, le philosophe demande de « passer le relais ».
BHL, enquêteur à haut risque, dispose aussi d’un œil et d’une plume d’écrivain, comme en témoigne son livre sur la mort de Daniel Pearl.
Que faire contre le terrorisme des fous d’Allah ? Critique des derniers ouvrages de Gilles Kepel et Bernard-Henri Lévy.
Bernard-Henri Lévy s’est incarné dans ce lecteur « ce semblable, ce frère » que Baudelaire apostrophait dans « Les Fleurs du Mal ».
C’est tout un parfum de mort que BHL, ce diable de romancier, restitue avec force talent et minutie dans son roman sur Baudelaire.
Où il est question de Lautréamont, Nietzsche, Sartre, Heidegger, Joyce, Proust, Céline, Artaud, Kafka, Bataille, de la Chine, du fascisme...
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