BHL évoque pour « Marianne » ses prises de positions sur l’Amérique, la gauche, les droits de l’homme, l’argent, Sarkozy, etc.
Débat organisé avec Alain Finkielkraut, puis publié après les élections, à l’occasion de la publication de « Ce grand cadavre à la renverse ».
Dans « Ce grand cadavre à la renverse », BHL critique la gauche depuis la gauche, dénonce ses mauvais démons, et l’encourage à les conjurer.
À propos de la première réunion de travail de Bush et Sarkozy : les réponses à certaines questions françaises sont-elles en Amérique ?
Le narcissisme de Besancenot perce dans les sondages. « L’affaire » Guy Môquet. La gauche n’a rien appris sur l’Europe.
Le philosophe tente de prendre la mesure du très étrange événement que constitue le divorce du Président.
Ponia et Voynet en Birmanie ? Réponse à Jean Daniel. Sarkozy et son conseiller. Un bourreau nommé Guevara. Fadela et Jean Seberg.
On attend de M. Hortefeux, qui n’est pas un lepéniste, qu’il trouve vite l’antidote à cette dose de poison frontiste qu’il s’est, à l’évidence, inoculé.
La polémique fait rage aux États-Unis depuis que le PEN Club a décidé de décerner à « Charlie Hebdo » son prestigieux prix du courage.
BHL a fondé, avec d’autres, l’association SOS Racisme en 1984. Dominique Sopo revient sur le combat antiraciste du philosophe.
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