Dans ce nouveau et beau livre, le plus médiatique de nos philosophes, blessé par l’échec, choisit de tomber enfin le masque. Troublant.
Diderot l’a déjà dit : le paradoxe du comédien tient dans ce qu’il est absolument sincère, même si la vérité échappe parfois à son rôle. Ce n’est pas par hasard que Bernard-Henri Lévy intitule son dernier livre : « Comédie ». Il y est totalement sincère.
« L’Imprévu » a été la première grande entreprise éditoriale de BHL en 1975. Il s'agissait pour le jeune philosophe de créer de toutes pièces un quotidien de gauche populaire. Ce projet ambitieux et louable dura onze numéros. Ici le no3.
Honte, dit BHL, aux sportifs turcs qui saluent la soldatesque d’Erdogan ; un maillot n’est pas un uniforme.
Les livres de BHL, Finkielkraut, Bloom, Henry, annoncent peut-être le printemps de notre culture. La critique d’Alain Besançon.
Pour son feuilleton, Bertrand Poirot-Delpech a lu « Éloge des intellectuels » de BHL, et « La Défaite de la pensée » d’Alain Finkielkraut.
On s’est moqué du « sanglot long des intellectuels ». Mais ils ne font pas que se lamenter... BHL publie un « Éloge des intellectuels ».
Bernard Frank a lu « Éloge des intellectuels ». Selon lui, en attaquant Sartre, c’est Baudelaire que BHL veut venger.
Plusieurs ouvrages (BHL, Finkielkraut, Bloom) nous livrent leur diagnostic sur la crise qui secoue le monde intellectuel.
Bernard-Henri Lévy, dans son « Éloge des intellectuels », en quelques pages brillantes, décrit et analyse la banalisation de la pensée.
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