Dans « Nuit blanche », le dernier livre de Bernard-Henri Lévy, les deux familles de fantômes qui tiennent compagnie à l’écrivain-philosophe.
Dans cette région martyrisée qu'est l'oblast de Kharkiv, le philosophe s’est rendu auprès de ceux qui, aux avant-postes, mènent un combat pour la liberté. Il témoigne du moral inentamé de ces soldats, remparts de l’Europe, qui n’ont qu’une angoisse : que leurs alliés occidentaux capitulent les premiers.
Pour la Bosnie, Bernard-Henri Lévy a bataillé sur tous les fronts possibles. « Le Lys et la cendre » rassemble les notes prises entre 1992 et 1995 sur ce combat. Tout y est, la guerre et la comédie de Paris. Avec, en filigrane, un passionnant autoportrait.
À la veille des élections européennes, le philosophe, fondateur de la revue « La Règle du jeu », rappelle que l’antisémitisme est un crime contre l’esprit doublé d’une menace existentielle pour l’Europe.
À propos du « Lys et la Cendre », cet impressionnant document sur la Bosnie, Henri Amouroux salue le talent de journaliste et d’écrivain de BHL.
Hommage à Alexeï Navalny, dont le martyre inspire au philosophe une réflexion qui mêle l’histoire, la politique, la littérature. Sans oublier l’éthique.
Bernard-Henri Lévy a repris ses carnets de bourlingueur et de... redresseur de torts. Sa « romanquête » fait un tabac. L’assassin du journaliste Daniel Pearl sert de cadre à une mise en garde terrifiante contre les dangers que l’islamisme pakistanais ferait courir au monde.
L’écrivain-philosophe publie une enquête aux informations inédites sur la mort de Daniel Pearl, journaliste américain décapité au Pakistan.
Qu’avait découvert le journaliste Daniel Pearl, assassiné à Karachi ? Bernard-Henri Lévy reprend l’enquête et signe une fresque terrifiante.
Ce texte accompagnait une série de photos de dictateurs en famille, ou saisis dans leur vie quotidienne, publiée par le magazine « Égoïste », dirigé par Nicole Wisniak, dans son numéro 14, tome II.
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