Le philosophe Bernard-Henri Lévy évoque l’ampleur de sa dette envers cette femme politique de premier plan.
Obama : un an à la Maison-Blanche. Construire la démocratie afghane. Au cinéma, une fable sur la maladie des âmes que fut le communisme.
Dans un grand entretien pour la revue « L’Arche », Bernard-Henri Lévy explique comment il est juif, pourquoi il est sioniste. Il analyse la relation du judaïsme au principe d’État-nation, livre son rapport à Israël, et met en garde contre la « bête immonde » de l’antisémitisme.
En marge du débat philosophique à « Apostrophes », Paul Guilbert analyse le discours politique de Bernard-Henri Lévy et des Nouveaux philosophes, cette protestation morale qui, par la langue, annonce la la faillite intellectuelle des princes rouges.
En marge du débat philosophique à « Apostrophes », Paul Guilbert analyse le discours politique de Bernard-Henri Lévy et des Nouveaux philosophes.
Le 26 mai 1977, dans « Les Nouvelles littéraires », Roland Barthes, « enchanté » par sa lecture, salue le style du premier livre de BHL, « La Barbarie à visage humain », reconnaissant là « le grain d’une écriture ».
La disparition du communisme rend la démocratie aveugle à son nouvel ennemi, l’intégrisme, nous explique le philosophe.
Quand BHL évoque les intellectuels français, le ton est souvent décapant. Sur Antenne 2, sa série « Les Aventures de la liberté » a sans doute fait grincer des dents. Exactement comme le personnage de Bernard-Henri Lévy lui-même.
On finirait par l’oublier, note encore Lévy, un intellectuel, c’est quelqu’un qui pense, fréquente les bibliothèques plutôt que les manifs.
Réseaux sociaux officiels