Avoir fermé les yeux sur la persécution des Ouïgours du Xinjiang restera, pour le philosophe, le grand scandale des JO d’hiver de Pékin.
Contre la position « néopacifiste » allemande vis-à-vis de la crise ukrainienne, le philosophe donne quatre conseils à nos amis d’outre-Rhin.
Invité à Washington, le philosophe a acquis la conviction qu’une certaine Amérique, celle des droits de l’homme, est paradoxalement de retour.
Ne mâchant pas ses mots contre les soutiens français de Poutine, le philosophe défend la politique étrangère de Macron et plaide pour le boycott des JO de Pékin.
En mars 2021, la Mairie de Paris a inauguré, près des Champs-Élysées, une allée au nom du commandant Massoud, en présence de son fils Ahmad Massoud et Bernard-Henri Lévy. Ce dernier a salué, à cette occasion, la mémoire du Lion du Panjshir.
En 2016 à Kiev, au nom du Président de la République française, Bernard-Henri Lévy rend hommage à la mémoire des victimes du massacre de Babi Yar, lors du 75ème anniversaire de cet événement tragique.
À l’institut d’Études Politiques de Paris, lors du colloque international « La Seconde Guerre mondiale dans le discours politique russe », BHL dénonce le révisionnisme des idéologues du Kremlin, ces « mercenaires au service d’une politique, embrigadés par une dictature d’un nouveau type ».
Dans cette allocution énoncée en mars 2015 au Palais Ferstel, à Vienne, BHL propose, un an après les événements de la place Maïdan, la mise en place d’un Plan Marshall pour la reconstruction de l’Ukraine.
Le 2 mars 2014, Bernard-Henri Lévy prononce un second discours sur la place du Maïdan à Kiev. Il s’adresse alors à la foule qui a fait preuve d’un grand courage face à la répression de la police de Ianoukovitch et a ainsi infligé une « défaite historique à la tyrannie ».
Le 9 février 2014, sur la place du Maïdan à Kiev, en Ukraine, Bernard-Henri Lévy adresse ces mots aux insurgés du mouvement « Euromaïdan », ces Ukrainiens courageux qui font face à la Russie de Poutine.
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