BHL se veut « un intellectuel à l’ancienne », témoin engagé des convulsions du monde, questionnant avec simplicité le judaïsme et la littérature.
Quels souvenirs laissera de lui le militant BHL ? Un certain goût du risque. Un touche-à-tout qui a inventé une forme du voyage intelligent.
Les vœux de Bernard-Henri Lévy pour une année qui s'annonce décisive pour l'Europe, l’Ukraine, Israël et le monde.
Le philosophe et cinéaste, qui a dirigé Alain Delon dans « Le Jour et la Nuit », brosse le portrait de son ami, en proie à des turpitudes familiales.
Avec son premier roman BHL fait le portrait de la génération perdue du demi-siècle, de 1940 à nos jours, en énumérant ses rêves brisés.
BHL a mis la dose, en bouillant jeune philosophe : son premier roman est-il un coup d’essai, un coup de maître ?
« Le Diable en tête » n’est pas un somptueux accident dans l’itinéraire et l’œuvre de BHL. Au contraire, c’est une nécessité, un complément.
Avec son premier roman BHL joue la difficulté et conjugue les genres : journal, dialogue, lettres, témoignage, confession.
Avec « Le Diable en tête », BHL signe un beau livre, un premier roman brillant et foisonnant, un roman miroir de notre époque.
Du siège des Nations unies à Washington et Los Angeles, le philosophe et reporter de guerre montre son dernier film pour que l’on n’oublie pas l’Ukraine.
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