Le philosophe, qui a participé au printemps libyen en 2011, analyse la nouvelle situation politique en Syrie. Il plaide derechef pour la sanctuarisation du peuple kurde.
Pour le philosophe, ne pas donner les moyens militaires nécessaires à Zelensky pour l’emporter sur la Russie revient à cautionner un inéluctable affaiblissement de nos démocraties.
Honte, dit BHL, aux sportifs turcs qui saluent la soldatesque d’Erdogan ; un maillot n’est pas un uniforme.
Dans son dernier essai BHL explique en quoi le 7 octobre fut pour « Israël un moment de vertige », le signe d’une solitude.
Alors que des coalitions internationales s’étaient formées pour détruire Al-Qaeda puis Daesh, personne, regrette le philosophe, ne vient aider Israël à mener la guerre contre le Hamas.
Réflexion sur l’état du monde à l’âge des guerres d’Ukraine et de Gaza. Raphaëlle Milone évoque sa lecture de « L’Empire et les cinq rois » de BHL.
Le philosophe, grand reporter et défenseur des droits de l’homme explique pourquoi il faut soutenir Israël dans sa guerre contre le Hamas terroriste.
L’écrivain philosophe, qui signe son troisième film sur l’Ukraine. Selon lui la Russie coagule une dangereuse alliance des impérialismes.
Alors que le philosophe rapporte d’Ukraine un nouveau documentaire, il rappelle pourquoi les démocraties doivent lutter contre la coalition des nihilistes : Russie, Iran, Turquie, Chine, Hamas…
Trouver des excuses au Hamas, arguer que sa barbarie répondrait à une oppression antérieure reproduit une saloperie qui a l’âge de l’antisémitisme.
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