Bernard-Henri Lévy, sait se rendre indispensable, devenir à lui tout seul un émissaire entre la France et les rebelles libyens.
Très impliqué dans la défense des insurgés libyens, le philosophe répond à ceux qui l’accusent de ne rien dire sur la répression en Syrie.
Faut-il en finir sinon avec la gauche, du moins avec le parti socialiste ? Dans notre précédent numéro, Jean Daniel s’en prenait à ceux qui parlent ouvertement d’enterrer le PS. Bernard Henri Lévy, le premier visé, réagit.
Le philosophe explique pourquoi il organise un meeting, dimanche soir à Paris, pour Ayaan Hirsi Ali, cette ancienne députée des Pays-Bas sous le coup d’une fatwa pour avoir critiqué l’islam.
Version française de la tribune publiée, dimanche 22 juillet, par Bernard-Henri Lévy, dans le supplément littéraire du « New York Times », où il explique ce qu’il pense de Nicolas Sarkozy.
Nous autres Français sommes plus concernés que les autres pays occidentaux par les conséquences du conflit du Proche-Orient
Un matin de 1980, un jeune homme débarque à Trouville, chez Marguerite Duras. Ils ne se quitteront plus. Adapté du livre de Yann Andréa, le film raconte cette grande passion littéraire.
Attention ! la pureté est « dangereuse », lance Bernard-Henri Lévy dans son dernier livre. Comme on lance un SOS.
Si le livre de Lévy déchaîne une aussi intolérante véhémence, c’est sans doute qu’il y a quelque part un cadavre dans le placard.
Bernard-Henri Lévy n’a certes pas raison quand il reproche à la France de n’être pas intervenue seule en Bosnie. Mais il est l’un des nôtres lorsqu’il préfère l’Europe mutilée de Sarajevo à celle de la monnaie unique.
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