BHL prononce un second discours, le 2 mars 2014, sur la place du Maïdan à Kiev, après l’agression des manifestants par la police de Ianoukovitch en Ukraine.
Invasion de l’Ukraine ou non, Poutine a trois objectifs stratégiques, dont le moindre n’est pas d’humilier ou de ridiculiser l’Occident.
À l’institut d’Études Politiques de Paris, lors du colloque international « La Seconde Guerre mondiale dans le discours politique russe », BHL dénonce le révisionnisme des idéologues du Kremlin, ces « mercenaires au service d’une politique, embrigadés par une dictature d’un nouveau type ».
Le 2 mars 2014, Bernard-Henri Lévy prononce un second discours sur la place du Maïdan à Kiev. Il s’adresse alors à la foule qui a fait preuve d’un grand courage face à la répression de la police de Ianoukovitch et a ainsi infligé une « défaite historique à la tyrannie ».
Lors de cette rencontre à l’Académie Mohyla de Kiev, le 16 mai 2014, à l’occasion du « Forum européen » organisé par Leon Wieseltier, BHL définit ce qu’est le poutinisme tout en montrant que l’Europe est aussi forte que Vladimir Poutine est faible.
Le philosophe tire trois enseignements pour l’Union européenne de la crise des migrants orchestrée par Loukachenko à la frontière de la Pologne.
Dans un New York post-Covid, le philosophe rencontre Henry Kissinger, se souvient de Christopher Hitchens, évoque une querelle de rabbins…
D’après le philosophe, le vote des Britanniques incarne la « victoire du souverainisme le plus sombre », préalable à « un possible crépuscule d’un projet de civilisation ». Soit les Européens se ressaisissent, soit le pire les attend
Invité sur Europe 1, Bernard-Henri Lévy met en garde sur la fracture de l'Europe entre les « forces brunes » et des démocrates « désarmés »
Alors qu’Angela Merkel quitte le pouvoir, le philosophe salue la chancelière qui a su préférer son pays à son parti et l’Histoire à son pouvoir.
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