Bernard-Henri Lévy est mieux qu’une star et son livre « Les Derniers jours de Charles de Baudelaire » est à lire de toute urgence.
Bernard-Henri Lévy fait aujourd'hui un spécifique : prendre un personnage réel, Baudelaire, pour en faire une fiction.
Avec « Les Derniers jours de Charles Baudelaire » Bernard-Henri Lévy n’a utilisé que des moyens de romancier. C’est sa ruse.
En avril 2005, depuis sa prison, l’assassin de Daniel Pearl, Omar Sheikh, évoque dans une interview le travail d’enquête réalisé par BHL sur le terrain, au Pakistan, et rassemblé dans un ouvrage qualifié de « romanquête », « Qui a tué Daniel Pearl ? ».
Patrick Besson et Bernard-Henri Lévy se passionnent pour deux écrivains d’hier : Alexandre Pouchkine, Charles Baudelaire.
C’est tout un parfum de mort que BHL, ce diable de romancier, restitue avec force talent et minutie dans son roman sur Baudelaire.
Le philosophe de Saint-Germain-des-Prés a des défauts, mais il est cohérent et s’inscrit dans la lignée des philosophes engagés.
BHL évoque pour « Marianne » ses prises de positions sur l’Amérique, la gauche, les droits de l’homme, l’argent, Sarkozy, etc.
Le philosophe français a réuni, lundi à Paris, plusieurs membres de l’opposition syrienne à l’étranger.
Une idée de l’Europe est morte en Bosnie. La Bosnie ce n’était pas seulement un Etat. Ni un pays. C’était aussi une idée, une culture.
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