BHL se veut « un intellectuel à l’ancienne », témoin engagé des convulsions du monde, questionnant avec simplicité le judaïsme et la littérature.
Quels souvenirs laissera de lui le militant BHL ? Un certain goût du risque. Un touche-à-tout qui a inventé une forme du voyage intelligent.
BHL dit ici ce que l’opéra, dont le renouveau est aussi l’affaire de la nouvelle génération, éveille pour lui, comment il l’entend.
Avec son premier roman, « Le Diable en tête », BHL vient de remporter le Prix Médicis. Quels sont ses projets et ses ambitions ?
« Le Diable en tête » n’est pas un somptueux accident dans l’itinéraire et l’œuvre de BHL. Au contraire, c’est une nécessité, un complément.
Entre la sortie d’un livre, la réédition d’un autre et la relance d’une revue, BHL partage ses interrogations sur le sens de l’Histoire et l’expérience de l’altérité à travers le voyage.
Entre reconstitution romanesque et pure enquête, BHL a voulu élucider le mystère de l’assassinat du journaliste américain Daniel Pearl.
Le livre de BHL est une magnifique enquête journalistique, précise, captivante, qui fait aussi appel à l’imaginaire.
La vogue des biographies, romancées ou non, n’a jamais été aussi forte qu’aujourd’hui. Angelo Rinaldi analyse ce phénomène.
C’est un mélange de fiction et de vérité qui fait la réussite de ce livre audacieux de BHL sur Baudelaire, écrit dans un style superbe.
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