Résultats pour « Gauche »

Un vivant qui ne passe pas (de l’importance – méconnue – d’Alberto Moravia dans l’histoire intellectuelle du XXe siècle)

Bernard-Henri Lévy, 30 octobre 2007

Le 30 octobre 2007, à l’Institut culturel italien de Paris, Bernard-Henri Lévy, donne une conférence sur Alberto Moravia. L’occasion de revenir sur le parcours de ce « grand vivant », auteur sous-évalué, et modèle du grand intellectuel européen.

Un Sartre ou deux ?

Bernard-Henri Lévy, 25 juillet 2005

En 2005, lors du Colloque de Cerisy qui portait sur « Jean-Paul Sartre : écriture et engagement », Bernard-Henri Lévy développe sa thèse du premier et du second Sartre pour répondre à la question suivante : comment le même homme a-t-il pu écrire ceci et cela ?

La littérature et l’étude

Bernard-Henri Lévy, 30 novembre 2008

Conférence prononcée lors du séminaire annuel de l’Institut d’études lévinassiennes où Bernard-Henri Lévy commente une phrase de Benny Lévy : « le juif n’a pas été créé pour faire de la littérature mais pour étudier. »

L’étrange expérience de la souveraineté juive

Bernard-Henri Lévy, 06 avril 2008

En avril 2008, Bernard-Henri Lévy donne une conférence à New York, à l’YIVO Institute for Jewish Research. Il évoque la situation d’Israël et l’état de la démocratie israélienne à l’heure de son 60ème anniversaire.

Deux Sartre… ou trois ?

Bernard-Henri Lévy, 16 octobre 2004

Lors du colloque de Baltimore organisé par le philosophe Christian Delacampagne, sur le thème « Sartre et son siècle », Bernard-Henri Lévy, défendant la thèse d’un premier et de deuxième Sartre, pose la question suivante : « Deux Sartre... ou trois ? ».

Athènes et Jérusalem, suite

Bernard-Henri Lévy, 10 décembre 2006

Le 10 décembre 2006, lors de la soirée de lancement, au Centre Rachi, de la Fondation Benny Lévy, Bernard-Henri Lévy interroge dans cette conférence l’idée de guerre métaphysique entre Juifs et Grecs, entre Jérusalem et Athènes.

Vive la droite antifasciste

Bernard-Henri Lévy, 01 mai 2002

Le 1er mai 2002, Bernard-Henri Lévy a prononcé, dans le cadre du « meeting républicain » organisé, à Marseille, par François Bayrou et l'UDF, un discours sur la droite antifasciste. Ce texte marque l’opposition du philosophe au Front National, alors que Jean-Marie Le Pen tient son meeting de campagne à la l’élection présidentielle dans la même ville, au même moment.