Peut-on aimer l’auteur des « Mots » quand on l’a connu maoïste sans hauteur ? Bernard-Henri Lévy opte pour l’empoignade affectueuse.
Avec son nouveau livre, « L’Empire et les cinq rois », Bernard-Henri Lévy récidive dans la défense d’un Occident fier de ses valeurs.
Portrait en creux d’un homme civilisé n’ayant jamais craint de dépenser sa vie et qui aujourd’hui interroge l’ange de l’Histoire.
Sur les cimaises de la Fondation Maeght, Bernard-Henri Lévy raconte en 130 œuvres, de la Renaissance à aujourd’hui, le combat millénaire entre artistes et philosophes. Parcours guidé.
Guerre en Libye, Erdogan, souverainisme, gauche racialiste, Covid... Le philosophe, qui publie « Sur la route des hommes sans nom », défend son internationalisme.
Il publie son 43e livre, « L’Empire et les cinq rois », chez Grasset. L’occasion, à quelques mois de son 70e anniversaire, de revenir sur le parcours de ce philosophe qui travaille à sa postérité depuis longtemps déjà.
François Hollande va rencontrer mercredi des responsables militaires des Peshmergas irakiens à l’Élysée. Le philosophe Bernard-Henri Lévy explique les raisons de ce nouveau combat.
Dans un chat sur le site du « Monde », BHL assure qu’il n’a pas pris la place du ministre des affaires étrangères, Alain Juppé, dont il dit qu’il fait « très bien son travail », en soulignant que cela n’a pas toujours été le cas, en Bosnie.
Bilan après les élections présidentielles aux États-Unis : l’Amérique profonde, sans que nul y prenne garde, vient de sortir de son lit.
Un certain monsieur Péricard. Madame Bovary, ce n’était pas lui. Jacques Delors, Alfred Jarry et le Parti socialiste. Moby Dick et le zapping. Le plus grand photographe du monde. Jean-Pierre Chevènement à Bagdad.
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