Puisque l’écrivain est une « lumière isolée », Bernard-Henri Lévy a voulu, dans son second roman, explorer l’énigme Baudelaire.
Bernard-Henri Lévy, porté par son admiration pour Baudelaire, a réussi un beau livre qui signe son retour en littérature.
Bernard-Henri Lévy passe de l’essai au roman. Après les barricades, après Mao, l’anti-révolution de Baudelaire.
En avril 2005, depuis sa prison, l’assassin de Daniel Pearl, Omar Sheikh, évoque dans une interview le travail d’enquête réalisé par BHL sur le terrain, au Pakistan, et rassemblé dans un ouvrage qualifié de « romanquête », « Qui a tué Daniel Pearl ? ».
Patrick Besson et Bernard-Henri Lévy se passionnent pour deux écrivains d’hier : Alexandre Pouchkine, Charles Baudelaire.
Le « Baudelaire » de BHL est un roman où il y a « de » la philosophie et qui, de ce point de vue, continue et relaie ses livres précédents.
Peu de temps avant sa mort, Baudelaire disparaît en Belgique. On sait peu de chose de ce long et douloureux voyage intérieur. Bernard-Henri Lévy donne sa version.
C’est tout un parfum de mort que BHL, ce diable de romancier, restitue avec force talent et minutie dans son roman sur Baudelaire.
Allocution lors la Hazkarah, commémoration dédiée aux victimes sans sépulture de la Shoah. Une allocution qui a été introduite par Éric de Rothschild, le président du mémorial de la Shoah, et suivie par le Kaddish prononcé par le Grand rabbin Olivier Kaufmann, le dimanche 24 septembre 2023, au Mémorial de la Shoah de Paris.
Allocution de Bernard-Henri Lévy à l’occasion de la Hazkarah, commémoration dédiée aux victimes sans sépulture de la Shoah.
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