Tout est à inventer à Kaboul. Tout est à repenser. Et ce sera la tâche, non seulement des Afghans, mais de la coalition internationale.
La débâcle des talibans et la victoire éclair d’une stratégie militaro-politique à l’habilité insoupçonnée pour bon nombre d’observateurs.
La guerre en tant que telle est, par principe aussi, une abjection. Mais, cela étant posé, on pourrait faire le raisonnement inverse...
Les lettres de Jacques-Alain Miller. Claudel le Bénisseur. Sollers, Pleynet et Mozart. Un mot de Faulkner : « le détail qui sonne faux ». Derrida publie trop. Le questionnaire de Proust appartient, en fait, à Mallarmé. Hemingway et Dieu.
Dommages collatéraux ? Bush-Ben Laden même combat ? Crétinisme américain ? Et si les Palestiniens avaient un Etat ? Al-Hayat contre Al-Jezira ? La guerre toujours.
Si « Sobibor » de Lanzmann est si important, s’il semble si essentiel de se précipiter dans les salles pour le voir, c’est pour, au moins, trois raisons.
BHL fait le bilan, un mois et un jour après les attentats du World Trade Center, de ce qui n’est plus supportable...
Que faudra-t-il faire des tours jumelles dévastées par les attentats suicides du 11 septembre ? Vive discussion.
Et si les GI libéraient l’Afghanistan ? Gare à l’antiaméricanisme. Le retour du Céline des pamphlets antisémites.
La « guerre des civilisations » n’aura pas lieu. Quand Massoud me donnait l’adresse de Ben Laden.
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