Quand on veut lâcher la Libye libre, on dit qu’elle est insauvable, peu fiable, ramassis d’ex-kadhafistes, infiltrée par Al-Qaeda, douteuse.
L’assassinat du général Abdelfattah Younès est un événement majeur. Mais cela ne peut servir à discréditer les insurgés.
Du soulèvement à la libération, le philosophe Bernard-Henri Lévy signe un film qui retrace les huit mois d’insurrection.
Bernard-Henri Lévy, qui publie « La Guerre sans l’aimer », revient sur le rôle qu’il a joué dans l’intervention militaire en Libye contre Kadhafi, et donne sa vision de l’avenir du pays.
Le Journal de BHL, « La Guerre sans l’aimer », nous livre les clés d’une guerre et d’un homme, et finit par convaincre.
L’écrivain français et trois Libyens engagés à Misrata, à peine arrivés de Benghazi, avaient rendez-vous avec Nicolas Sarkozy, mercredi soir.
Le bouillant philosophe était au Festival pour présenter « Le Serment de Tobrouk », récit filmé de la guerre en Libye.
Après l’« aventure » en Libye, le livre. Bernard-Henri Lévy publie un récit, chanson de geste de Nicolas Sarkozy en chef de guerre.
Les fanatiques qui ont assassiné à Benghazi l’ambassadeur américain en Libye, Christopher Stevens, ne sont pas seulement des criminels, ce sont des imbéciles, selon le philosophe.
Il faut être vigilant en Libye. Mais que ce devoir de lucidité serve d’alibi à un esprit de Munich revisité, voilà qui n’est pas acceptable.
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