Depuis huit ans, c’est le combat de sa vie : l’intellectuel engagé lui consacre un deuxième long-métrage, « Slava Ukraini », vive l’Ukraine.
Les hordes de Daesh sont beaucoup plus braves quand il s’agit de faire sauter des Parisiens que lorsqu’il faut affronter de vrais soldats de la liberté.
Le philosophe dresse le bilan de sept années de guerre qui ont fait des Syriens les martyrs de Bachar el-Assad, sur fond d’impuissance coupable.
Pourquoi, alors qu’il espérait lui aussi la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël, l’écrivain n’arrive pas à se réjouir et s’inquiète.
Tindar, hanté par la question de la trace et de l’empreinte, expose à Londres des empreintes de migrants et de Calaisiens.
Le philosophe, qui a pu être très critique quant à l’action du président américain, dresse cette fois un bilan plutôt positif de l’action de Barack Obama.
Entre Chicago et New York, l’écrivain débat sur l’immobilisme des États-Unis face à la bande des quatre et l’antisémitisme signe de cette « époque Trump ».
À Lampedusa et en Crète, c’est le sort de l’Europe qui se joue ; c’est la définition de l’Europe, de son âme, qui est mise, là, à l’épreuve.
Bernard-Henri Lévy s’est rendu en Grèce, deux fois, au camp de Moria, où ils sont près de 20 000 réfugiés à croupir et à se désespérer. Des incendies d’origine criminelle ont ravagé le camp forçant les migrants à un nouvel exode.
Venu jouer sa pièce à Budapest, le philosophe a aussi rencontré Viktor Orban pour défendre les valeurs d’un continent sans frontières.
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