Lévy, en Libye, fut à l’exemple de Byron, d’Annunzio, Lawrence, Malraux, Orwell, ces lettrés requis par une haute nécessité, s’ingérant dans la guerre.
Ex-rebelles libyens et insurgés syriens étaient présents aux côtés de BHL sur le tapis rouge du Festival de Cannes 2012 pour présenter le film « Le Serment de Tobrouk ».
Pourquoi BHL ne s’est-il pas contenté d’écrire des livres et des articles ? Pourquoi son engagement a-t-il dû passer par le cinéma ? Analyse d’une œuvre cinématographique composée de cinq films.
Quand on veut lâcher la Libye libre, on dit qu’elle est insauvable, peu fiable, ramassis d’ex-kadhafistes, infiltrée par Al-Qaeda, douteuse.
L’assassinat du général Abdelfattah Younès est un événement majeur. Mais cela ne peut servir à discréditer les insurgés.
Du soulèvement à la libération, le philosophe Bernard-Henri Lévy signe un film qui retrace les huit mois d’insurrection.
Bernard-Henri Lévy, qui publie « La Guerre sans l’aimer », revient sur le rôle qu’il a joué dans l’intervention militaire en Libye contre Kadhafi, et donne sa vision de l’avenir du pays.
En Afghanistan ou au Kurdistan, de Lesbos à Mogadiscio, Bernard-Henri Lévy a couru le monde. Dans son nouveau livre, il raconte pourquoi le philosophe s’est lancé dans l’action.
En exclusivité pour « Madame Figaro », Bernard-Henri Lévy parle de son documentaire « Le Serment de Tobrouk » et revient sur son équipée libyenne, en 2011
L’écrivain français et trois Libyens engagés à Misrata, à peine arrivés de Benghazi, avaient rendez-vous avec Nicolas Sarkozy, mercredi soir.
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