Le 20 janvier 2017, jour de l’intronisation de Donald Trump à Washington, Bernard-Henri Lévy rencontre Philippe Roth. Et c’est en la compagnie de ce grand nom des lettres américaines que le philosophe et écrivain va passer une partie de cette extraordinaire journée, qui scella l’avènement de Trump au pouvoir.
Bernard-Henri Lévy compare les premiers pas de Donald Trump à la Maison-Blanche au « Complot contre l'Amérique » l'uchronie de Philip Roth.
Le 17 juin 2018, Bernard-Henri Lévy recevait le tire de Docteur Honoris Causa du Collège académique de Netanya en Israël, remis par le docteur Jacob Hart, président du Campus. Le philosophe a, à cette occasion, prononcé un discours éminemment politique.
Le discours prononcé par Bernard-Henri Lévy lors de la remise de son Doctorat honoris causa par le Collège académique de Netanya, en Israël le 17 juin 2018. À cette occasion le philosophe revient sur les « efforts de la pensée et de l’étude », mais aussi sur Israël et l’esprit du judaïsme.
Aux yeux de BHL, le fondateur du « Nouvel Observateur » était une figure paternelle, « né le même jour, dans la même Algérie » que son propre père…
Après 23 ans de conflits en Afghanistan, BHL est le premier écrivain français à s'adresser à un public afghan. À Kaboul Lévy dresse le premier bilan de sa mission sur le terrain, et fait part des grands projets qu'il proposera à son gouvernement pour un nouvel Afghanistan libre.
En 1993, Bernard-Henri Lévy est le témoin de la rencontre entre le président français François Mitterrand et Alija Izetbegovic, le président bosniaque, qui a lieu grâce à lui. L’écrivain s’est engagé corps et âme auprès des bosniaques lors de la guerre qui opposa ces derniers à la Serbie de 1992 à 1995.
Face au score historique réalisé par le Front national, l'écrivain estime nécessaire de dépasser « l'antifascisme incantatoire ».
L’intellectuel lance un appel en faveur des Kurdes, après le référendum du 25 septembre sur l’indépendance, à l’heure où l’armée irakienne est intervenue dans la province de Kirkouk.
D’après le philosophe, le vote des Britanniques incarne la « victoire du souverainisme le plus sombre », préalable à « un possible crépuscule d’un projet de civilisation ». Soit les Européens se ressaisissent, soit le pire les attend
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