Les intellectuels contraignent la classe politique à s’expliquer sur ce qui constitue aujourd’hui l’une des grosses épines européennes.
Le philosophe écrivain se réinvente commissaire d’expo pour la Fondation Maeght.
Sur la Syrie, la Libye, Hollande et Sarkozy, le droit d’ingérence mais aussi son « narcissisme » supposé, ses rapports au cinéma et Marine Le Pen qui le poursuit en justice pour diffamation, Bernard-Henri Lévy s’explique.
Un intellectuel engagé n’est pas forcément dans l’action, explique BHL, emporté, lui, par l’aventure libyenne.
Le Journal de BHL, « La Guerre sans l’aimer », nous livre les clés d’une guerre et d’un homme, et finit par convaincre.
« L’art est la vraie philosophie ». On ne s’attendait pas à une telle affirmation de la part de Bernard-Henri Lévy, commissaire de l’exposition d’été 2013 à la Fondation Maeght.
Très impliqué dans la défense des insurgés libyens, le philosophe répond à ceux qui l’accusent de ne rien dire sur la répression en Syrie.
Version française de la tribune publiée, dimanche 22 juillet, par Bernard-Henri Lévy, dans le supplément littéraire du « New York Times », où il explique ce qu’il pense de Nicolas Sarkozy.
En créant sa liste pour la Bosnie, le philosophe a jeté un pavé dans la mare des européennes. Secoué le PS. Et aidé Rocard à « tuer le père ».
Si le livre de Lévy déchaîne une aussi intolérante véhémence, c’est sans doute qu’il y a quelque part un cadavre dans le placard.
Réseaux sociaux officiels