Honneur à Edmond Safra, véritable « juif du siècle » tissant les fils d’une mémoire commune en une tresse singulière. Loué soit son nom.
À l’occasion des 70 ans de l’État hébreu, le philosophe ne cache pas son admiration pour ce qu’il appelle le « miracle israélien ».
Il est inacceptable de renvoyer dos à dos les kamikazes et leurs victimes, et de laisser croire que cette nouvelle flambée de violence est spontanée.
Le film d’Arcady sur le calvaire d’Ilan Halimi. Les livres de René Girard et Alexandre Adler. « Le Misanthrope » de Michel Fau.
Les voisins arabes d’Israël ont fait le pari d’une fraternité renouée. Puisse l’ancienne Perse prendre, très vite, un chemin semblable.
Le philosophe se souvient de Mendès France, rend hommage au « soldat » Boris Johnson et présente son film « Pourquoi l’Ukraine » en Israël.
Au Musée du Prado à Madrid, Bernard-Henri Lévy rend hommage à Jorge Semprún. L’occasion pour le philosophe de dire son admiration pour l’écrivain et l’homme d’action qui est « l’esprit européen incarné ».
Dans ce discours d’acceptation du prix Scopus de l’Université hébraïque de Jérusalem, le 1er juin 2008, Bernard-Henri Lévy, en dressant un bilan sur l’état du monde juif, expose un judaïsme lumineux et plein d’espoirs.
En 2003, l'Institut d'études lévinassiennes organise, à Jérusalem, une série de séminaires sur le thème suivant : « la pensée du Retour ». À cette occasion Bernard-Henri Lévy, membre fondateur de l'Institut, donne une conférence durant laquelle il répond à la question : « comment je suis juif ? »
Bernard-Henri Lévy, en sa qualité de président du conseil de surveillance d'Arte France, revient, après avoir rempli sa mission pendant dix ans, sur cette aventure tant télévisuelle qu'intellectuelle. Se dessine, à l'occasion de cette prise de parole, une certaine idée de l'Europe et de sa grandeur.
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