Fidèle à ce qui le fait courir, BHL reprend pour ses débuts au théâtre les grands thèmes qui assurent depuis toujours le substrat de son œuvre.
Bernard-Henri Lévy publie chez Grasset « Pièces d’identité » et « De la guerre en philosophie ». De ces deux travaux très différents se dégage le portrait d’un homme affairé, presque dispersé, mais apte à ramasser soudain sa pensée, autour d’une lutte majeure ou d’un concept neuf.
Avec le « Testament de Dieu », BHL expose une stratégie de « résistance » et une éthique précise de l’intellectuel, guetteur et solitaire.
Un regard lointain pourrait associer leurs origines et leur mythologie : le marxisme d’avant 68, Cuba, la Bolivie et le Che pour Régis Debray ; le gauchisme de 68, le Bangladesh et l’Afghanistan pour Bernard-Henri Lévy... Mais en y regardant de plus près, tout oppose désormais ces deux intellectuels. Explications.
En septembre 1979, à la veille de Kippour, rue Geoffroy-l’Asnier, BHL prononce un discours au Mémorial du Martyr juif inconnu. Dans cette allocution le philosophe insiste : « L’heure me paraît grave et toute bruissante de sinistres présages. »
Et si, en triomphant, la cause des droits de l’homme, c’est-à-dire de la liberté, avait subrepticement — et paradoxalement — régressé ?
Chirac en campagne. Le visage de Milosevic. Les reliques de Bourdieu. Foucault. Faire la guerre sans l’aimer. Biographie de Rosenzweig.
L’altermondialisme sous le signe de la démagogie populiste et d’un narcissisme communautaire, frise parfois l’obscène.
Existe-t-il un précédent à cette farandole de l’ignoble que sont les photos des prisonniers d’Abou Ghraib ? Oui, car la barbarie n’a pas d’âge.
Visionnage du film sur l’Ukraine, réalisé par Bernard-Henri Lévy qui pousse à un soutien unanime, sans réserves diplomatiques ou hésitations pacifistes d’aucune sorte.
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