Bernard-Henri Lévy est mieux qu’une star et son livre « Les Derniers jours de Charles de Baudelaire » est à lire de toute urgence.
En racontant la vie et la mort de Baudelaire, Bernard-Henri Lévy interroge jusqu’au vertige les chemins de la création.
BHL a réussi superbement son roman. À ces brillants écrits de tête il ajoute une œuvre de cœur, pleine de talent, riche de mille promesses.
« BHL », comme une marque, appâte néanmoins lecteurs et auditeurs. La preuve ? Précisément l’ampleur des réactions qu’il suscite.
Avec la disparition du philosophe, Bernard-Henri Lévy perd un « compagnon de route » avec lequel il mena tous ses combats importants.
Comment le travail de l’intellectuel n’exclut pas un goût pour la vie et la légèreté ? Que cache le « Je » de Bernard-Henri Lévy ?
La règle du jeu : des noms, un jeté de noms, dont le point commun était d’avoir, d’une manière ou d’une autre, compté dans la vie intellectuelle ou personnelle de BHL.
Philosophe, écrivain, journaliste, Bernard-Henri Levy s’adjoint un nouveau rôle, celui de commissaire d’exposition. Avec « Les Aventures de la vérité » à la Fondation Maeght, il propose dès le 29 juin un dialogue entre peinture et philosophie.
Un rapport de 1985 sur l’influence des Nouveaux philosophes en France a été rendu public.
Si le livre de Lévy déchaîne une aussi intolérante véhémence, c’est sans doute qu’il y a quelque part un cadavre dans le placard.
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