Dans son dernier livre Bernard-Henri Lévy comprend que le 7 octobre est le nom d’un événement absolument irréductible.
Ne soyons pas dupes de l’indignation sélective de ceux qui participent à des manifestations où se déploient les slogans du Hamas terroriste.
L’avenir institutionnel de la Belgique, la gauche française, l’identité nationale, la spéculation financière, Benoît XVI, Pie XII, l’avenir de la presse écrite…
« Peshmerga », c’est le cinéma de guerre au temps des drones et des Go-pro. Et pour leçon : à la fin de Daech, dans l’après-Assad qui tôt ou tard adviendra, il faudra bâtir un Kurdistan unifié, indépendant et démocratique.
Guerre en Libye, Erdogan, souverainisme, gauche racialiste, Covid... Le philosophe, qui publie « Sur la route des hommes sans nom », défend son internationalisme.
Dans « Ce virus qui rend fou », son dernier livre, le philosophe dresse un bilan de la crise sanitaire. Et dénonce cette « Première Peur mondiale » qui, au nom d’un hygiénisme exacerbé, a fait imperceptiblement glisser la société du contrat social au contrat vital.
Inlassable observateur de notre temps, le philosophe et écrivain revient, dans un livre pamphlet, sur la gestion de la crise sanitaire du Covid-19.
Le philosophe a reçu une lettre de son ami géorgien, emprisonné et empoisonné à Tbilissi. Et appelle l’Europe à ne pas oublier ses défenseurs.
Les hordes de Daesh sont beaucoup plus braves quand il s’agit de faire sauter des Parisiens que lorsqu’il faut affronter de vrais soldats de la liberté.
À Paris, Bernard-Henri Lévy a présenté son documentaire « Slava Ukraini » mardi devant le ministre ukrainien de la Défense, Oleksi Reznikov. Il décrit ce nouveau projet comme un appel à aider l’Ukraine.
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