Miller et Baudelaire. La maladresse de M. Cukierman. L’esprit de Mitterrand ne nous quitte décidément pas. Condoleezza Rice au réveil. Le nom des otages.
BHL interroge le président Hollande : « La France fera-t-elle, pour Houla et Homs, ce qu’elle a fait pour Benghazi et Misrata ? »
Trois juifs agressés à Villeurbanne à coups de barre de fer et de marteau. Le philosophe interroge le moderne bréviaire de la haine antisémite.
La démocratie compose avec le moindre mal dans l’espoir de conjurer le pire. Et le moindre mal aujourd’hui, c’est Macron ou Fillon.
Face au drame qui se déroule au Venezuela, la passivité de la communauté internationale et les excuses des insoumis ne sont pas tolérables.
Comme un nouveau Sarajevo, Alep, qui fut la deuxième ville de Syrie, est en train de mourir sous les yeux de l’Europe qui laisse faire.
Le philosophe, qui a pu être très critique quant à l’action du président américain, dresse cette fois un bilan plutôt positif de l’action de Barack Obama.
La France, au terme de l’année terrible qu’elle vient de traverser, mérite mieux que le défaitisme du Front National.
BHL expose cinq raisons de jouer, sans illusions mais avec détermination, la carte du rapprochement et du dialogue avec l’Iran.
Il n’y a plus de bonne solution depuis août 2013, mais dans l’enfer des mauvaises solutions, la plus mauvaise de toutes, c’est celle de Vladimir Poutine.
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