Hollywood et l’Internet. Gracq vivant. Kojève, lecteur de Poutine. La vérité sur le Kosovo. La ligne Michel-Ange. Le règne de la technique. Tristesse de Bubis.
Dans une tribune collective, les vingt-deux principaux directeurs des médias français du « Monde » à « Charlie Hebdo » en passant par « Le Figaro » et « L’Express » exigent la remise en liberté d’Evan Gershkovich, journaliste au « Wall Street Journal » accusé d’espionnage par la Russie.
Le 17 août 1971 le jeune BHL donnait son premier texte à « Combat », le journal de Camus alors dirigé par Philippe Tesson, et s’engageait pour les révolutionnaires de l’Irlande du Nord.
Le philosophe et essayiste Bernard-Henri Lévy a sillonné le pays pour « Le Monde ». Sommes-nous capables de hausser vraiment le ton et de dire, en Géorgie, stop à Poutine ?
Pour le « JDD », l’écrivain Bernard-Henri Lévy a parcouru Israël pendant huit jours au cœur de l’opération « Plomb durci », rencontrant tous les dirigeants de l’Etat hébreu. Un témoignage exclusif.
Qui est vraiment le candidat Trump ? Bernard-Henri Lévy dresse un portrait terrifiant de l’homme qui aspire à devenir le chef de la première puissance mondiale.
Faire dialoguer la philosophie et l’art autour du thème de la vérité, telle est l’ambition de Bernard-Henri Lévy, qui, pour la première fois, prend les habits de commissaire d’exposition pour la Fondation Maeght, à Saint-Paul-de-Vence. Un événement !
Dans un texte écrit en 2014, Armin Arefi revient sur les différents combats qui ont mobilisé Bernard-Henri Lévy en 2009 et 2010 pour défendre la démocratie iranienne. Le philosophe a en effet dénoncé la prise de pouvoir d’Ahmadinejad, avant de s’investir, avec La Règle du Jeu, pour sauver le cinéaste Jafar Panahi, puis Sakineh, victimes du régime islamiste de Téhéran.
BHL a soutenu Massoud et son action dès 1982. Il n’a eu de cesse de vouloir faire entendre cette voix afghane porteuse d’un islam éclairé.
Bernard-Henri Lévy intervient lors d’un colloque à la New York University, qui aborde l’œuvre de Romain Gary. Le philosophe s’interroge alors sur ce qu’il appelle « le cas Gary », c’est-à-dire l’affaire Émile Ajar.
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