L’assassinat du général Abdelfattah Younès est un événement majeur. Mais cela ne peut servir à discréditer les insurgés.
Du soulèvement à la libération, le philosophe Bernard-Henri Lévy signe un film qui retrace les huit mois d’insurrection.
Bernard-Henri Lévy, qui publie « La Guerre sans l’aimer », revient sur le rôle qu’il a joué dans l’intervention militaire en Libye contre Kadhafi, et donne sa vision de l’avenir du pays.
L’aventure libyenne de BHL racontée au jour le jour par son auteur. Discutable mais passionnant.
Sur la Syrie, la Libye, Hollande et Sarkozy, le droit d’ingérence mais aussi son « narcissisme » supposé, ses rapports au cinéma et Marine Le Pen qui le poursuit en justice pour diffamation, Bernard-Henri Lévy s’explique.
Le Journal de BHL, « La Guerre sans l’aimer », nous livre les clés d’une guerre et d’un homme, et finit par convaincre.
En Afghanistan ou au Kurdistan, de Lesbos à Mogadiscio, Bernard-Henri Lévy a couru le monde. Dans son nouveau livre, il raconte pourquoi le philosophe s’est lancé dans l’action.
En exclusivité pour « Madame Figaro », Bernard-Henri Lévy parle de son documentaire « Le Serment de Tobrouk » et revient sur son équipée libyenne, en 2011
Un film à sa propre gloire ? Bien sûr. Mais qui pose la seule vraie question : fallait-il, en mars 2011, laisser massacrer les insurgés libyens ?
Très impliqué dans la défense des insurgés libyens, le philosophe répond à ceux qui l’accusent de ne rien dire sur la répression en Syrie.
Réseaux sociaux officiels