Dans « Ce grand cadavre à la renverse », Lévy oppose la gauche « lyrique » à la gauche « mélancolique ». La critique de Jacques Henric.
En publiant « De la guerre en philosophie », Bernard-Henri Lévy défend son travail et son statut de penseur.
Sur la Syrie, la Libye, Hollande et Sarkozy, le droit d’ingérence mais aussi son « narcissisme » supposé, ses rapports au cinéma et Marine Le Pen qui le poursuit en justice pour diffamation, Bernard-Henri Lévy s’explique.
Le « nouveau philosophe » français et le marxiste slovène s’opposent ici sur l’avenir de la gauche et le retour de l’idée communiste.
Attention ! la pureté est « dangereuse », lance Bernard-Henri Lévy dans son dernier livre. Comme on lance un SOS.
L’hostilité, BHL connaît. Pour un philosophe engagé, c’est le prix à payer. Mais la haine – notamment distillée ces jours-ci par « Le Monde diplomatique » ? Elle est anormale, estime Philippe Val, qui en dit ici les dangers.
Pendant près de trois mois, le philosophe a parcouru le Vieux Continent pour une série de représentations théâtrales, vibrant plaidoyer pour l’Union européenne.
Le philosophe interprète « Last exit before brexit », une version remaniée de sa pièce « Hôtel Europe », au Cadogan Hall.
Avant de la présenter à Paris, à partir du 9 septembre 2014, au théâtre de l’Atelier, Bernard-Henri Lévy a choisi Sarajevo pour créer sa pièce « Hôtel Europe ». Tout un symbole pour ce monologue saisissant, porté par Jacques Weber, réflexion sans concession sur les plaies toujours vives de l’Europe.
« Ce grand cadavre à la renverse » n’est pas – ouf ! – un livre de plus sur Nicolas Sarkozy, autour de Nicolas Sarkozy, ni même contre Nicolas Sarkozy. C’est un livre sur la gauche, ce qu’elle a été, ce qu’elle est devenue, ce dont elle doit se garder, ce qui doit à nouveau l’inspirer.
Réseaux sociaux officiels