Est-il encore possible, face aux images du carnage de Cana, dans l’émotion, le chagrin, le deuil qui nous étreignent, de rappeler quelques faits ?
Un mot revient dans les commentaires, en Europe, de la riposte israélienne à la déclaration de guerre du Hezbollah : le mot « disproportion ».
La plausibilité de la guerre atomique ne mérite-t-elle pas que l’on interroge une politique énergétique qui nous fait acheter l’énergie qui nous tuera ?
La défaite d’Al-Manar sera la victoire, toutes confessions confondues, de ceux qui se font une certaine idée de la démocratie et du droit.
Quel sera le sort des otages de Christian Chesnot et Georges Malbrunot ? Tous les moyens sont bons pour obtenir leur libération.
BHL a lu « L’Hitler iranien » d’Amir Jahanchahi, un livre utile, et la BD « Ben Laden dévoilé ». Farouk Hosni sera-t-il élu à l’Unesco ?
Puisqu’il n’y a pas de bons ou de mauvais morts, c’est non seulement Israël, mais les Palestiniens, qu’il faudra libérer de l’emprise du Hamas.
Il serait logique, pour Barack Obama, d’aller au bout de l’exercice de sagesse qu’il s’est imposé et qu’il a imposé à son homologue français : aller à Saint-Pétersbourg, oui ; mais en bouleversant l’agenda de la réunion.
Un appel à mettre un terme à la tragédie en Syrie, signé Jacques Bérès, Mario Bettati, André Glucksmann, Bernard Kouchner et BHL.
Selon Bernard-Henri Lévy, les raisons qui ont poussé, hier, à une intervention pour soutenir les insurgés libyens doivent nous amener à soutenir la rébellion syrienne.
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