Un philosophe peut-il réparer le monde ? Alexis Lacroix décrypte la pensée de BHL, sa vision de l’homme et du monde.
Que signifie « guerres oubliées » ? Quels sont les enjeux de ces conflits aux victimes sans nombre, sans nom, sans visage ?
Rencontre avec l'écrivain pour la sortie de « Piranhas ». L'auteur de « Gomorra » continue son combat contre la mafia et l'Italie de Matteo Salvini.
Vingt ans après la conférence de Durban, le philosophe souligne pourquoi sa commémoration serait une infamie. Et appelle à son boycott.
BHL nous confronte à cette réalité qui dérange et alarme, celle des guerres oubliées où l’on meurt dans l’indifférence universelle.
Konopnicki sur Israël, les Palestiniens, a le mérite de repartir de zéro et de déblayer des idées reçues qui paralysent, sur le sujet, la réflexion.
Au Palais des Congrès, à Paris, en ouverture du Congrès de l’Association mondiale de psychanalyse, BHL évoque le réel selon Jacques Lacan. C’est l’occasion pour le philosophe de revenir sur son rapport au réel, à l’acte, et donc à la figure de l’intellectuel.
Ce début de siècle est marqué par une réflexion sur Sartre et de nombreux reportages sur le terrain des « guerres oubliées ».
Le penseur alerte sur le massacre de chrétiens au Nigeria. Aussitôt, des « spécialistes » polémiquent. D’un côté, les atrocités, de l’autre, les arguties.
Au cours de l'année 2001, BHL est allé observer de près, cinq « guerres oubliées » : au Burundi, en Angola, au Soudan, au Sri-Lanka, en Colombie. Il a vu, au quotidien, ces « guerres de spectres », dont l'issue est indifférente au reste du monde, et qui n'en continuent pas moins de tuer par milliers, par centaines de milliers.
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