Le philosophe plaide pour un grand accord entre médias « réduisant au strict inévitable l’évocation des figures du crime ».
On peut tirer quelques leçons de ce que l’on finira sans doute, très bientôt, par appeler la non-affaire Strauss-Kahn.
Quelle fut la réaction de BHL en voyant les premières images de DSK sortant, menotté, du commissariat de Harlem ?
Bernard-Henri Lévy a été reçu au Vatican, pour préparer le 50e anniversaire de l’encyclique « Nostra Aetate ». Le pape François lui a fait forte impression.
D’après le philosophe, le vote des Britanniques incarne la « victoire du souverainisme le plus sombre », préalable à « un possible crépuscule d’un projet de civilisation ». Soit les Européens se ressaisissent, soit le pire les attend.
Le retour de la guerre en Europe a vu le surgissement d’une empathie unanime à l’Ouest pour le peuple ukrainien et ses alliés. Mais cette solidarité inédite peut-elle durer ? À l’occasion de la sortie de « Slava Ukraini » de Bernard-Henri Lévy, enquête sur place...
Selon Bernard-Henri Lévy, les raisons qui ont poussé, hier, à une intervention pour soutenir les insurgés libyens doivent nous amener à soutenir la rébellion syrienne.
Le 17 août 1971 le jeune BHL donnait son premier texte à « Combat », le journal de Camus alors dirigé par Philippe Tesson, et s’engageait pour les révolutionnaires de l’Irlande du Nord.
Non, Kadhafi n’a pas « changé ». Il n’a jamais cessé d’être – il demeure – un tyran baroque mais sanguinaire passé maître dans l’art du crime de masse.
BHL prend le contre-pied de « ceux qui, comme Claude Lanzmann, trouvent le temps long et tournent casaque » sur le dossier libyen.
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