Portrait d'un commandant de légende, en guerre depuis presque vingt ans contre les Soviétiques autrefois, maintenant contre les talibans : Massoud.
En 1993, Bernard-Henri Lévy est le témoin de la rencontre entre le président français François Mitterrand et Alija Izetbegovic, le président bosniaque, qui a lieu grâce à lui. L’écrivain s’est engagé corps et âme auprès des bosniaques lors de la guerre qui opposa ces derniers à la Serbie de 1992 à 1995.
L’intellectuel lance un appel en faveur des Kurdes, après le référendum du 25 septembre sur l’indépendance, à l’heure où l’armée irakienne est intervenue dans la province de Kirkouk.
D’après le philosophe, le vote des Britanniques incarne la « victoire du souverainisme le plus sombre », préalable à « un possible crépuscule d’un projet de civilisation ». Soit les Européens se ressaisissent, soit le pire les attend
L’intellectuel très ingérent mais pas indigent filme son soutien aux Kurdes et continue à ferrailler contre l’EI et compagnie.
Crise des migrants, conflits mondiaux, radicalisation populiste, haine des élites, rejet du capitalisme : dans un entretien aux « Echos », Bernard-Henri Lévy prend position sur les crises du moment. Sans langue de bois.
Giannoli, Fieschi et leurs « Illusions » gagnées ; grandeur de Navalny ; un héros de Tom Wolfe ; octobre noir au Soudan ; la preuve par Marceline.
Que penser du probable mariage entre Hachette et Editis ? L'avis du philosophe qui tient Grasset, donc Hachette, pour une deuxième maison
Accélération diplomatique dans la crise libyenne, cette fin de semaine. Nicolas Sarkozy, à l’initiative de Bernard-Henri Lévy, a reçu jeudi...
Retour par Philippe Boggio sur la trajectoire mêlée de Régis Debray et Bernard-Henri Lévy. Comment se sont-ils croisés pour mieux se séparer ?
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