L’ex-nouveau philosophe, Bernard-Henri Lévy, lance avec son dernier roman une O.p.a. sur l’auteur des « Fleurs du Mal ».
Peu de temps avant sa mort, Baudelaire disparaît en Belgique. On sait peu de chose de ce long et douloureux voyage intérieur. Bernard-Henri Lévy donne sa version.
La tragédie du Haut-Karabakh est de nouveau un test pour les démocraties occidentales. Vont-elles, ou non, réagir à l’agression de l’Azerbaïdjan ?
S’il fabrique des concepts et construit un système, le philosophe, tel que Lévy veut l’incarner, est aussi un « guérillero ».
Bernard-Henri Lévy conduit depuis toujours plusieurs destins en parallèle : le philosophe « guerrier », le cosmopolite, le politique, le littéraire...
Bernard-Henri Lévy publie deux livres où passent Obama, Gary, Camus, Lévinas et Jean-Paul II, mais qui dessinent aussi un portrait de l’écrivain par lui-même. Rencontre avec un personnage protéiforme.
Une idée de l’Europe est morte en Bosnie. La Bosnie ce n’était pas seulement un Etat. Ni un pays. C’était aussi une idée, une culture.
Ce texte accompagnait une série de photos de dictateurs en famille, ou saisis dans leur vie quotidienne, publiée par le magazine « Égoïste », dirigé par Nicole Wisniak, dans son numéro 14, tome II.
Où il est question de Lautréamont, Nietzsche, Sartre, Heidegger, Joyce, Proust, Céline, Artaud, Kafka, Bataille, de la Chine, du fascisme...
Sur le pari bien redoutable que de tenter de créer un journal, « Les Nouvelles de Kaboul », dans un Afghanistan en ruines.
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