En 1971, Bernard-Henri Lévy devient agrégé de philosophie. Il choisira pourtant un autre destin que celui des universitaires.
Ses façons d’émeutier mâtinées de dandysme rendent BHL plus conforme à la chevalerie lettrée du XIXe siècle qu’au froid désenchantement du nôtre.
Ses livres sur Daniel Pearl et les guerres oubliées font un tabac aux États-Unis et son côté « parisien », qui agace ici, séduit là-bas. Nous l’avons suivi à New York pendant son marathon médiatique, au moment où il publie en France « Récidives », un recueil de textes très personnels.
Quels souvenirs laissera de lui le militant BHL ? Un certain goût du risque. Un touche-à-tout qui a inventé une forme du voyage intelligent.
L’exploration de son deuxième roman, « Les Derniers jours de Charles Baudelaire », permet de redécouvrir Bernard-Henri Lévy.
Pourquoi il est impossible, même et surtout quand on est sartrien, d’avoir raison contre Camus ? BHL évoque Camus, un de ses maîtres.
Retour ses les combats, les œuvres et les inspirations de l’écrivain-philosophe Bernard-Henri Lévy, aux États-Unis où il est devenu un personnage clé de la scène intellectuelle.
À propos du livre de Jean Tellez, « Le philosophe en guerre », consacré à Bernard-Henri Lévy, un éclairage sobre et minutieux.
Bernard-Henri Lévy a réuni ses reportages de guerre et les chapeaute d’une élucidation des raisons de sortir de soi et d’aller vers le lointain.
Tchernobyl et le Moyen Age. Ça ne va pas fort pour Gorbatchev. Qu’est-ce que le libertinage ? Non au Carmel à Auschwitz. Une blessure qui saignera jusqu’à la fin des temps. Sartre et Claudel. Nihiliste ? pourquoi pas... Bravo Reagan. Halte à la coabdication. Ras le bol des oraisons funèbres. Le Sacré et le Saint. L’infamie d’Helmut Kohl.
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