BHL salue la mémoire de Mandela. Avec Hollande la France demeure fidèle au meilleur d’elle-même. Rencontre avec Ali Zeidan.
Cher Hemingway... Le livre de Konopnicki. Léotard, Millon et compagnie. Arrêterons-nous Mladic et Karadzic ? Merci, Nelson Mandela. Poubelle de l’humanité. Gilles Deleuze, hélas ?
Le 1er décembre 2003, Bernard-Henri Lévy participait à la cérémonie de lancement de ce que l’on a appelé « l’Initiative de Genève » pour la paix au Proche-Orient, en tant qu’« Ambassadeur pour l’Europe » pour cet accord.
Que faire dans cette Autriche qui n’est évidemment ni l’Irak ni l’URSS mais qui n’en traverse pas moins une crise morale sans précédent ?
Voici l’un des plus grands joueurs de tous les temps. Voici une légende. Un mythe planétaire... Achille avait son talon. Zidane aura eu le sien.
Bernard-Henri Lévy s’insurge contre ceux qui cherchent à « discriminer, délégitimer, diaboliser un Israël qui n’en finit pas de porter son étoile jaune ».
De nombreuses personnalités, dont BHL, viennent de se réunir à Vienne pour voler au secours de ce pays martyrisé. Un sommet autrichien qui fera date.
Dans cette allocution énoncée en mars 2015 au Palais Ferstel, à Vienne, BHL propose, un an après les événements de la place Maïdan, la mise en place d’un Plan Marshall pour la reconstruction de l’Ukraine.
Pour BHL, le PKK mène une bataille avec un courage exemplaire et une efficacité non moins exceptionnelle contre le califat noir de Daesh.
Vingt ans après la conférence de Durban, le philosophe souligne pourquoi sa commémoration serait une infamie. Et appelle à son boycott.
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